L’événement évaporitique messinien constitue depuis une trentaine d’années ce que Busson (1990) a considéré comme l’un des problèmes majeurs de la géologie sédimentaire. Le « Géant salifère messinien » (Hsü 1972 ; Busson 1979), de par son épaisseur et son extension phénoménales, fascine les sédimentologues et les géomorphologues et constitue à l’échelle limitée de la Méditerrannée un sujet aussi polémique que l’explication de la crise Crétacé/Tertiaire. La crise messinienne et la crise K/T partagent, en effet, la même ampleur d’interrogations et d’incertitudes, notamment en ce qui concerne les réponses aux questions « Pourquoi ? », « Comment ? » et « Quand exactement ? ».
Didier NÉRAUDEAU & Évelyne GOUBERT
505-510, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (16)Brigitte VAN VLIET-LANOË et al.
511-541, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (17)Simona PESTREA et al.
543-583, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (18)Simona PESTREA & Jean-Paul SAINT MARTIN
585-610, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (19)Pierre MOISSETTE et al.
611-623, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (20)Jean-Pierre ANDRÉ et al.
625-639, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (21)Denis LACOUR et al.
641-657, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (22)Didier NÉRAUDEAU et al.
659-667, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (23)Didier MERLE et al.
669-689, Publié le 30 septembre 2002, art. 24 (24)