Le riche corpus de graffitis gravés aux murs des églises, dans de nombreuses régions du Bassin parisien accorde une place modeste au bestiaire. Trois figurations sont présentées : le coq, le cheval et le cerf, qui possèdent des caractéristiques très différentes quant à la constitution de leur valeur symbolique. Croyances populaires et iconographie religieuse sont sollicitées pour tenter de comprendre le sens à donner à ces figures animales.
Bestiaire, graffiti, Bassin de Paris, coq, cheval, fer à cheval, cervidé, piété populaire, Contre-Réforme.