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Manhattan ou la mémoire insulaire


fr Tome 34
Anne RAULIN

Publié en 1997

Prendre la ville comme objet anthropologique – qui plus est, comme une personne – peut sembler une gageure, surtout s'il s'agit de New York. C'est pourtant sous les traits tout autant physiques que psychiques que Manhattan apparaît à travers ses toponymes, noms et numéros de voies. Ils permettent de déchiffrer une forme originale d'intégration de la mémoire et de l'histoire, mais aussi de l'imagination, c'est-à-dire du temps dans l'espace urbain, et de retracer sa construction symbolique. SIngulière par son identité insuliare et portuaire, héritière du Vieux monde dans ses valeurs les plus élitistes comme les plus démocratiques, hantée par l'esprit du wilderness, Manhattan en regard d'autres cité ne serait-elle pas tout à la fois la plus américaine et la plus européenne ?


Citation du tome :
RAULIN A. 1997. — Manhattan ou la mémoire insulaire. Muséum national d'Histoire naturelle, Paris, 248p. (Mémoires de l'Institut d'Ethnologie ; 34).
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