G. Moussu et moi avons étudié en 1903, les combustions intraorganiques de la glande parotidienne en repos et en activité. Ces expériences avaient pour but, rappelons- le, de vérifier si, en travaillant, les glandes consomment une quantité d'énergie comparable à celle des autres organes, ainsi que l'avait démontré déjà CHAUVEAU dans une expérience sur la glande parotide du Cheval, ou si elles ne consomment pas ou très peu pendant leur activité, comme l'a écrit CLAUDE BERNARD au sujet de ses expériences sur la glande sous-maxillaire du Chien.