
Dans un travail antérieur, j'ai envisagé quelques cas d'adaptation fonctionnelle de la denture chez les Insectivores et chez les Lémuriens. Mais toute adaptation résulte certainement de l'intervention de facteurs dont l'action répétée au cours des générations successives a finalement produit les résultats devenus définitifs que nous observons. N'est-il pas indispensable, en effet, pour que les édifications que réalise une adaptation puissent subsister, qu'elles correspondent à des possibilités mécaniques ? Avant d'aborder le sujet particulier de cette note, revenons sur quelques-unes de nos précédentes conclusions.