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La langue des bois l'appropriation de la nature entre remords et mauvaise foi

Sergio DALLA BERNARDINA

Publié le 26 novembre 2020

« Ils remplissent de foin la peau de l’ours et après avoir célébré leur victoire avec des chants de raillerie et d’insulte, après lui avoir craché dessus et l’avoir repoussé à coups de pied, ils dressent l’animal sur ses pattes arrière et alors, pendant un temps considérable, ils lui accordent toute la vénération due à un dieu protecteur. » James G. Frazer, Le rameau d’or (1923 : 489)...,  SUITE