
Un esprit aussi passionnément attiré vers les grands problèmes de la Nature ne pouvait rester indifférent devant les perturbations dont notre atmosphère est perpétuellement agitée. Pendant de longues années, parallèlement à ses immortels travaux sur le transformisme, Lamarck tenta de perfectionner la science météorologique, mais les connaissances acquises en physique à son époque ne permettaient pas encore d'assimiler les phénomènes dont l'atmosphère terrestre est le siège à ceux que l'on réalise aujourd'hui dans les laboratoires.